De quoi se refroidir [Yu'mikor]

Le soleil étant de retour, Himeko se fit rejeter de la prison comme prévu. S'ils savaient! trois petits jours enfermée étaient bien suffisant pour qu'elle ait à fermer boutique. Et bien sûr, à le savoir, elle serait restée bien plus longtemps. Histoire de s'assurer qu'elle se plante! Enfin, l'important, c'est qu'elle était libre finalement.

- À la prochaine ma jolie

Elle se retourna et fit face au policier portant le plus horrible des sourires. C'est sous un air dégoutée qu'elle lui répondit ma foie sèchement.

- N'y comptez pas

Son sourire s’agrandit et il répondit alors qu'elle se retournait déjà pour partir, ne voyant pas la grimace qu'elle lui offrait.

- Les sauvages reviennent toujours...

Il était absurde, elle n'avait rien fait qui mérite ces quelques jours à l'ombre. D'autant plus que c'était quelques jours dans la petite cellule du poste de police. N'importe quoi! Franchement, si elle avait su que ce môme de neko était si criard elle aurait vite fait de l’assommer. Déjà, c'était quoi l'idée de cacher ses oreilles en étant une espèce dominante? C'était un idiot qui avait du en piéger plus d'un. Arrêtée pour impolitesse envers un neko. Conneries. Plus elle y pensait et plus lui venait l'idée de retrouver ce garnement. ainsi, dans l'envie de retrouver un peu de calme, elle se retrouva les pieds nus sur le sable encore frais de la nuit. Cette sensation était des plus agréables alors qu'elle commençait à bouillonner.

Par contre, les plages n'étaient pas impopulaires.. alors même s'il n'y avait que quelques personnes pour le moment, elle alla derrière les rocher et observa les reflets de quelques nuages gris au long de l'eau qui lui semblait si lisse, si douce. Peut-être devrait-t-elle y faire un tour...

S'étais une agéable journée, tous étais plat, rien ne se passer pour moi même. Quelques égratignures face aux affrontements contre les Hybrides une nouvelle fois je décidais d'aller a la plage... En effet je me battais souvent contre des hybrides, et... Comme a chaque fois je perdais... J suis un être humain... Je sausi faibles, ils me battent a chaque fois.. J'ai toujours besoin d'aide... Je me demande même, si je ne suis aps le souffre douleurs de la pluparts de ces hybrides de la grandes ville... Moins de vitesse, moins de muscles.... Je ne suis qu'un homme bon a abbatre...

Ayant décidé d'aller a la plage, j'en déposer mes chausures et mes chaussettes ainsi mis dans les chaussures. Les chaussures que je porter dans ma main droite... Je regardé le ciel, j'avançais sans rien sur cette plage qui dans peu de temps se retrouvera bien évidement remplie... De grands rocher étais ,onon loin de là... Personne n'y aller, alors pourquoi n'irais-je pas pour trouvé le calme ?
J'allais donc dérrière ces grands rocher a l'abris de tous les regards et paisible sur tous les moyens... A ma surprise quand j'atteignis le bors, et que j'étais "disparue" au large dérrière toute cette montagne de roche je vis l'Usagi de la dernière fois... Celle qui faisais des sucréries tellement bonne avec qui j'aimais bien parler malgès tous... J'avança vers elle avec un léger sourire au lèvres.

"Yo' ! Sa fait un bail, non ?"

C'était stupide, Himeko était tellement obnubilée par ce qui lui faisait face qu'elle ne pensait plus à protéger ses arrières. Et pourtant! Dieu sait à quel point le moindre recoin, surtout tranquille, peut être dangereux. C'est donc ainsi qu'elle se retrouva dans une espèce de fausse position de karaté lorsque la voix du jeune homme se porta à son oreille. Lorsque son regard croisa celui de Yu'mikor, le rouge lui monta aux joues. Se redressant rapidement, elle porta son poing à ses lèvres pour éclaircir sa voix en toute subtilité. Franchement, trois jours complets à regarder des films de combats de ces pitoyables policier. Elle était maintenant atteinte. Mais elle n'allait pas s'excuser de cette réaction non.. le plan était tout autre! Elle avait plutôt en tête de nager vers un autre sujet.

« Un bail ou deux oui, je commençais à croire que ces nekos t'avaient bouffer! »

La lapine se mit alors à rire nerveusement. Décidément, ça ne lui allait pas d'être mal à l'aise. Et puis... « bouffer » Ça ne sonnait pas un peu vulgaire? Un peu... sauvage? De toutes façons, ce qui était dit était dit. Sans le quitter des yeux, Himeko tenta de sourire sincèrement.

« Alors sinon.. que se passe-t-il dans la vie de ce cher humain? »

Un sourire agaceur fit place sur ses lèvres tandis qu'elle reculait doucement de sorte à se tremper les pieds tout en priant pour ne pas tomber. Ce genre de maladresse embarrassante n'était pas rare pour elle mais c'est qu'en jupe, la chose est un tantinet embêtante.

Arrivais devant la jeune femme, j’en souriais de la position qu’elle eut, l’ais-je tant surpris ? Cela est possible, et j’en reste désolé pour elle, mais la revoir est un plaisir pour moi. Cela faisait longtemps depuis la dernière fois. Puis elle engagea la conversation en limitant ses casses comme dirons-nous et plongea dans un tout autre sujet. Et bien non, les Nekos ne m’avait en aucun cas mangé, ils auraient surtout eu des problèmes d’indigestions je pense, mais bon, l’on ne sait jamais.

« Et bien non, je suis toujours la, mais j’en suis heureux de te revoir, qu’est tu devenu depuis ce temps ? »

Etait-elle énervée ? Son rire le faisais pensée, l’ais-je surprise, trop surprise au point de l’énervé ? Comment pourrais-je m’excuser de cela ? J’en suis bien évidement et sincèrement désolé d’avoir fait cela, mais je voulais lui continué la conversation, continué de discuté avec elle, en savoir encore plus que la dernière fois a son sujet, en apprendre sur ce long moment ou nous nous somme pas vus. Il y tant a raconté.

Je viens m’adosser doucement contre la roche, la regardant avec un petit sourire sincère et remplie de générosité et de bien être envers elle. La regardant d’un regard apaisant et sans aucune autre intention que de parler amplement et gentiment avec elle.

« Et bien, encore eu quelques accros avec certains hybrides, mais rien de grave, ensuite quand j’eut voulu retourné dans ta boutique, elle y était fermé, je n’ai donc pus te revoir pendant tout ce temps ou venir faire de nouvelles emplette. »