Le Délice Frais

Je me perds dans les rues de la ville, en pleine après-midi, sur les coups de 14 H 00 avec une chaleur ambiante assez élevé, je pose mon pull, que j’attache à mes hanches. Je remarque un peu plus loin un grand magasin de sucrerie, Confiserie ? Avec cette chaleur ambiante je me dis sur le coup que sa doit être frais à l’intérieure, alors, pourquoi pas y entré. J’arrive devant la grande porte et l’ouvre doucement, effectivement il y fait fraie. Après quelques que minutes a resté devant la porte dans l’intérieure du magasin je regarde les alentour du magasin qui est immense pour une confiserie. J’observe les sucreries qui on l’aire plus délicieuse les unes, que les autres, même si cela n’est pas trop mon truc. Je me dirige vers la caissière et lui demandant si ils n’avaient pas des glaces, c’est possible dans un endroit comme ça, après un non, elle acquiesce en disant qu’ils avaient des bonbons gelé, pourquoi pas essayer ? J’en prends donc un sachet, étant assis sur un banc de la confiserie je goute ces sucrerie gelé pour me rafraichir encore plus, certes je ne supporte pas la chaleur.

-Hum… ça va, ce n’est pas mauvais… Et c’est rafraichissant.

Himeko s'occupait déjà de quelques clients lorsque le jeune blondinet fit son entrée et dû donc envoyer une demoiselle en formation. Lorsqu'elle aurait bien apprit la vente, elle irait dans une autre boutique elle ne sait trop où. Sans trop s'en apercevoir, l'usagi s'était mise à observer son élève et retint un bâillement. Ce ne fût que le client éclaircissant sa gorge qui la déchira de sa rêverie. S'excusant immédiatement avec le plus beau des sourires. Suite à leur départ apparemment redouté de leur part, une autre personne entra tout juste après le mouvement du blond devant la porte. Sur le coup, elle ne comprit pas, il semblait savoir qu'une dame était derrière lui avant même qu'elle ne touche à la porte, mais vu qu'il ne jetait aucun regard derrière lui, elle se dit qu'elle se faisait simplement des idées de fou. Un soupire, tout discret, s'échappa de ses lèvres roses. Après quoi elle redressa légèrement ses longues oreilles pour écouter la conversation entre l'élève et le client. Himeko fût cependant bien choquée lorsqu'elle vit le jeune homme retirer l'emballage d'un bonbon pour y goûter l'air de rien. Était-il cependant conscient qu'il lui devait de l'argent dès à présent? Légèrement irrité, elle respira tranquillement tout en pensant les yeux fermés, l'instant d'une seconde.

¤ Calme-toi Hime... Calme-toi... Sage, sage... ¤

Bien qu'elle n'avait pas besoin de croquer tout le temps comme les lapins à part entières desquels les dents poussaient continuellement, il lui prit l'envie de s'en servir comme excuse, mais à quoi bon. Elle n'avait qu'à mettre cette personne au courant, mais son élève surtout. Se raclant la gorge pour ne pas avoir une voix rugueuse, Himeko se dirigea vers le client à la confiserie gelée et lui adressa un sourire chaleureux.

- Bonjour! Écoutes, je suis désolée mais... tu es conscient que tu vas devoir payer cette confiserie, hein?

Ça lui avait tout prit pour ne pas être antipathique avec lui, il dégageait quelque chose qui semblait faire ressortir son côté le plus mauvais. Pourtant en ces lieux, elle se devait d'être un ange parfait. C'était bien ici, dans la confiserie qu'elle n'avait pas à se casser la tête pour emmerder les autres. Jouer un rôle tranquille.

Etat tranquillement en train de mangé des confiseries et parlant avec une gérante du magasin je ressens comme un malaise, et observant discrètement sans qu’on s’aperçoive d’une autre fille qui a l’aire plus âgée me lancée comme une aura assez démoniaque, Je ne sais pas à ce moment ce qu’elle me veut, mais je ne pense pas que ça soit du bon. J’essaye tant bien que mal de l’ignoré, malgré de vaine tentative.

*Pense : Quesque elle me veut ? O.o ? Ayez ! Elle ne veut rien de bon… Quand je dis que je suis maudit ! Ou que j’aye on me veut toujours du mal… Mais j’ai faits quoi de mal ? je pense pas avoir volée ?*

Après plusieurs tentatives sans succès pour trouver ce qu’elle me veut, je renonce avec un grand soupire. Je la vois m’approché avec un aire de rapace qui n’a pas mangé depuis des jours. Quand je comprends qu’elle vient pour moi, j’essaye de cacher mon angoisse.

- Bonjour! Écoutes, je suis désolée mais... tu es conscient que tu vas devoir payer cette confiserie, hein?

*Pense : Ah… D’accord ! Enfaite vus que je suis humain, je suis forcément un voleur… fallait qu’elle me le dise plus tôt je n’aurais pas eu à m’inquiété.*

- … Ne t’inquiète pas, voilà ton argent… J’avais prévue de te le payé…

Je lui donne son argent avec un surplus que je lui pris de gardé, que l’on pourrait croire par gentillesse via mon sourire, mais enfaite car j’ai la flemme de compté la monnaie. Je me dirige donc vers la sortie.

- Bon, bah… je m’en vais… T’aura plus a t’inquiété que je vole comme sa…

Fort, son cœur battait fort, elle en tremblait presque. Elle qui s'était montrée aimable, elle qui lui avait sourit. Recevait maintenant le blâme de cet humain qui... qui... Ah! Il n'y avait même pas de mot. Himeko prit rapidement place sur la chaise mais sans un seul bruit, tel une ballerine se siègerait. Elle s'était assise parce que sinon, elle le sentait, c'est un coup de pied que la table aurait reçue. Prenant l'argent, elle mit de côté ce qui était de trop, avec une envie soudaine de lancer la petite monnaie sur le client. Un petit rire lui vint à cette image. Le jeune homme partait, il allait quitter la confiserie en lui disant qu'elle n'aurait pas à craindre un vol de sa part.

- Attend!

Sa voix s'était montrée forte, mais gardait sa douceur. Elle voulait simplement être certaine qu'il l'ait bien entendu, détestant se répéter pour de telles bêtises. Se levant, elle mit l'argent dans la poche de son uniforme et alla le rejoindre, près de la porte, sans pour autant le bloquer. Après tout, libre à lui de ne pas écouter ses explications, elle avait d'autres chats à fouetter après tout. Avalant le peu de salive qu'elle avait en bouche, l'usagi regarda à travers la vitre de la porte.

- Tu réagis bien rapidement pour un humain.. Je voulais simplement m'assurer que tu n'aie pas de mauvaises surprises.

Himeko fit un courte pause, jetant un œil à son élève qui semblait ne pas avoir de trop grands problèmes avec la cliente et regarda le jeune homme qui s'apprêtait à sortir.

- Les pourboirs, c'est pour les clients heureux..

Himeko mit sa main en poing près du jeune blond attendant qu'il ouvre la sienne dessous pour qu'elle puisse laisser tomber ce qu'elle tenait.

- Je te prie à mon tour de bien vouloir reprendre cette petite monnaie, je n'en veux pas.

Insistant sur les derniers mots de sa phrase disant qu'elle ne voulait pas du petit change, elle rechercha les yeux de la personne qui risquait à tout moment de simplement ouvrir la porte et partir. Mais peut-être se révolterait-il. Ce serait certes un peu idiot selon elle mais.. tout le monde réagit différemment.

*Pense : Oulla…. Susceptible cette fille … == *

Je lui souris légèrement et n’ouvrit pas ma main. Je m’accoude à la porte et la regarde dans les yeux… D’après sa réaction, je me dis sur le coup, de ne pas trop l’embêté qu’elle est apparemment assez susceptible.

»Ne t’inquiète pas pour ça, mais juste que… Te voyant comme sa… On aurait dit que tu voulais me tuer… et c’est un peu gênant »

Cette aura obscure qu’elle dégageait été toujours actif et cela m’inquiété de plus en plus, car je ne suis qu’un humain ma force physique ne peut dépasser celle des autres espèces. Ce montrant irritante tout en étant douce, méchante en étant gentille. Je pouvais remarquer que je commencé a l’agacé, et l’énerver, et cela ne serais pas bon.

[/b]« Bon… je m’excuse pour mon attitude déplacé… pourrais-je avoir d’autre bonbon glacé pour pouvoir me rafraichir ? Ne t’inquiète pas ! Je te payerais convenablement ! »[/b]

En même tant que mes excuse que je ne devrais même pas présenté je m’incline, puis me redresse et lui tend la main avec de l’argent pour bien lui montré que je pourrais payé, j’essaye d’être le plus gentil possible pour ne pas gêner la fille quia l’aire d’être son apprentie, et car, dehors il fait d’une chaleur époustouflante et qui j’aimerais continuais à me rafraichir, je prends onc sur moi pour me porter fautif, alors que je ne fais que me défendre a ses agressions voulu ou non.

Himeko finit par rire avec un soupçon de moquerie à l'égard du client. et remit le surplus d'argent dans sa poche avec le reste, celui qu'il avait refusé de reprendre. Après tout, s'il s'était décidé à ne pas garder ses sous pour les dépenser ailleurs, c'était son problème à lui, en quoi devait-elle se battre pour les lui faire reprendre? Puis la phrase se refit dans sa tête et elle se demanda où elle avait l'air de vouloir commettre un acte désagréable sur le jeune humain.

- Me voir comment? Il me semble que je ne me suis pas vraiment montrée mauvaise...

La lapine parut triste un instant, et secoua ensuite doucement la tête comme pour effacer ses traits moroses. C'était du jeu, bien sûr, elle n'avait pas réellement le moral bas, mais elle ne savait pas quoi faire, oh nom de dieu, pour que la tête blonde à piques s'enlève de la tête qu'Himeko était une mauvaise personne. En quoi savait-il qui elle est après tout? Il ne connaissait rien. Il était bien le seul client de la journée à ne pas être tombée sous le charme d'une adorable usagi qu'elle jouait. Tendant le bras vers la table qu'il venait de quitter, elle lui sourit amicalement.

- Je te prie de bien vouloir regagner la place sur laquelle tu étais installé un peu plus tôt, pour que l'autre employée puisse te servir convenablement...

Sans même attendre une seconde, elle se retourna vers le comptoir où sa jeune élève disait aurevoir à sa cliente avec un sourire franc. Une chose que l'on pouvait accorder à cette fille, c'est bien qu'elle était réellement agréable et sincère. Himeko soupira doucement et se demanda si elle ne devrait pas penser à l'engager carrément.

Je souriais et remarqué ses changements assez présomptueux de caractère, qui me laissé perplexe. Quand elle se retourna pour aller au comptoir je la fixée de mon regard sans le descendre. Et je ne sais pourquoi mais son caractère n’allait pas avec son physique, d’après le peu de temps que j’ai passais avec elle, mais il ne suffit pas de quelques minutes pour connaitre une personne, alors qu’elle m’intrigue, je décide donc de resté le plus longtemps possible à la boutique.

*Pense : LUNATIQUE ! M’enfin… peut être que l’es énervée aussi… Mais comme même, pas de sincérité en elle…. Mais ses bonbons glacés son succulent !!! Un vrai délice ! Rha ! Fait encore cette chaleur dehors… Vais me prendre plein de confiseries !!!! *-*

Je mer servais en délice glacées, et n’oublié pas de la PAYEE à chaque fois que j’en prenais, cela me rafraichissait et été doux en bouche. Je ne connais pas cette recette, mais c’est exquis.

« Délicieux ! Et aussi… Euh… Ho... *-*… Je prendrais aussi de cela ! Et eux, là ! Et aussi… bon… Ba… A table !!! hi hi…

Je souriais en me servant et commencé à complètement oublié le passage précédent.

Pendant que le jeune homme se régalait, de toute évidence, des sucreries glacées, Himeko alla s'asseoir à quelques tables avec l'employée en formation et croisa les jambes, tout à fait à son aise. Elle observa la demoiselle en face d'elle un long moment avant de finalement se décider à lui adresser la parole, puisqu'elle n'attendait que ça et semblait même nerveuse de ce qu'elle pouvait finir par lui dire.

- Émilie..

Cette dernière se redressa et Himeko retint difficilement un rire. Comment pouvait-on être aussi malade du stress face à sa patronne temporaire et être complètement à son aise lorsque l'on faisait face au client. Elle se racla la gorge et poursuit, prenant un air sérieux et tentant de ne pas sourire dès qu'elle revoyait les actes nerveux d'Émilie.

- Est-ce que tu cr...

la clochette de la porte laissa comprendre que quelqu'un venait d'arriver dans la confiserie et l'élève ne tarda pas à se lever. Elle s'inclina devant Himeko qui sourit faiblement avant de la laisser partir alors que cette dernière s'excusait.

- Pardonnez-moi mademoiselle Himeko!

Elle s'excusait de devoir aller s'occuper de la petite famille qui venait d'entrer, de faire son boulot... incroyable. Himeko l'observa quelques secondes, c'était bien la première fois qu'elle l'appelait par son prénom, et depuis longtemps qu'elle l'entendait de la bouche de quelqu'un d'autre. Haussant ses épaules, elle tourna sa tête en direction du client qui ne semblait pas se lasser de la sensation fraîche dans sa bouche. Elle le héla donc.

- Dis-moi, tu n'as pas peur de te geler le cerveau au final?

Mangeant les sucreries glacé en écoutant la scène d’à côté, je fais aucun signe. Un petit soupir se relâcha de ma bouche, mais pas un vulgaire, un gracieux voulant dire: je me suis régalé ! La jeune fille qui avait l’air d’être l’apprentie de l’Usagi s’en alla avec un sourire aux lèvres. Quand celle-ci fut partie, la patronne me regarda et s’adressa à moi gentiment, mais, moqueur, sans effet de méchanceté ou autre dans son intonation. Au premier abord on aurait croire qu’elle s’inquiétait pour moi, mais je renoncé en me disant: IMPOSSIBLE !

« Non, ne t’inquiète pas il n’y a rien à gelé dans ma tête… Ou il du moins il y’a plus… A force de me faire agressé, sa pars la matière grise… »

Je parlais gentiment avec une intonation de rigolade. Ayant fini mes bonbons je me lève, regarde encore toute la confiserie et va en direction de la patronne, je lui souris et eu comme une « illumination ». Avais-je demandé son nom ? je ne crois pas… Alors de ce pas je m’incline et me présente convenablement tous en lui demandant son nom.

« désolé… Avais oublié… Je me nomme Yumikor… Mais bon… *Pense: S’en fou surement* et vous ? »

Himeko laissa naître un doux sourire sur ses lèvres à la rigolade de son client qui portait sur sa matière grise mais interrogea tout de même. À force de se faire agresser? Il était donc un genre de combattant? Voilà qui s'avérait fortement intéressant. L'usagi le regarda ensuite se lever et balayer la confiserie des yeux. Ce qui la mena à faire de même. Tout lui semblait être en ordre, aucun problème. Mais elle s'attarda tout de même sur chaque partie de la boutique pour s'en assurer plus sérieusement. La voix de yu'mikor sonna tout d'un coup plus près d'elle, ce qui la fit d'ailleurs sursauter. En effet, il s'était rapprocher. L'usagi alla lui demander de répéter lorsque l'effet de la surprise se dissipa et lui ramena les mots appartenant à son client.

- Tu sais, il n'y a rien qui oblige un client à se présenter, et puis... je n'apprécie pas vraiment être vouvoyée, tu crois que j'ai quel âge?

Himeko déposa une main sur son front, consciente qu'elle donnait probablement l'impression qu'elle était en train de s'emporter à cet instant où elle lui demandait presque de deviner qu'elle âge elle avait. histoire de calmer un peu les chose, un petit rire sortit de ses lèvres et elle regarda de nouveau Yu'mikor.

- C'est maintenant à moi de s'excuser, c'est ennuyant de deviner l'âge d'un autre n'est-ce pas?

Elle lui sourit, et se leva pour ne pas paraître impolie plus longtemps. Dans une rencontre au bar, elle serait sans l'ombre d'un doute restée assise, mais il était question de boulot, elle se devait d'être adroitement polie et aimable. Un adorable petit lapin dans un monde de chats fous quoi! En bref, elle lui présenta sa main tout en regardant son visage plutôt que ses yeux, histoire de paraître plus réservée qu'elle ne l'était, et ne l'avait montrée.

- Enchantée Yu'mikor, appelle-moi Himeko.

C'est à ce moment là qu'un bruit étrange résonna au sol derrière eux. On aurait dit une poche de patate que l'on laissait tomber. Rapidement, Himeko regarda rapidement en direction d'Émilie et de la petite famille dont elle devait s'occuper. La vitesse à laquelle elle avait fait ce geste était tant qu'elle aurait pu facilement fouetter quelqu'un de la longue chevelure. Au sol, se trouvait l'enfant de la famille qui semblait être un garçon des plus maladroits dont les chaussures étaient mal lacés. De ses petites chaussures à petits talons, Himeko s'empressa de rejoindre le jeune au sol dont les larmes montaient déjà aux yeux et qui était resté à plat ventre. De toute évidence, Émilie et les parents étaient trop surpris pour réagir. Souriante, l'usagi alla placer l'enfant sur une chaise juste à côté et commença à lacer ses chaussures de façon à ce que rien de se défasse.

- Et bien dis-donc! Tu as fais une belle chute! Un acteur n'aurait pas fait mieux!

L'enfant semblait avoir plus peur du mal qu'il aurait pu ressentir qu'autre chose et essuyait de lui même ses larmes. Sautant sur ses pieds, il regarda ses parents qui n'eurent même pas à regarder au sol qu'ils comprirent. Cet enfant avait des trucs qu'elle avait sans doute perdu avec l'âge. leur charme n'était pas le même. Émilie alla prendre le bonbon que l'enfant avait fait éclater au sol durant sa chut et c'est Himeko qui se chargea de lui en donner une autre. Oui, elle le donna, laissant leur porte-feuille en paix. De toute façon, elle avait eu bien assez de client et la confiserie était bien à elle non? Cette partie enfantine comme l'autre...

- Tu sais, il n'y a rien qui oblige un client à se présenter, et puis... je n'apprécie pas vraiment être vouvoyée, tu crois que j'ai quel âge?

« Bha… Euh… »

Je fus légèrement gêner par cette phrase, car en disant l’âge d’une fille, si tu te trompes tu risques fort, vaux mieux rien dire…

- C'est maintenant à moi de s'excuser, c'est ennuyant de deviner l'âge d'un autre n'est-ce pas?

« C’est pas que c’est ennuyant… Mais je n’ai pas envie de me tromper… »

Je remarque un peu plus loin un jeune homme tombée, Il a l’aire d’être assez jeune… Il a les larmes aux yeux. Himeko va vers lui pour le réconforter. Je souris et m’approche de lui à mon tour, je pose ma main sur sa tête et lui dis d’une voix ni trop grave, ni trop aigu avec la lumière me reflétant.

« Tu n’as pas a pleuré…. »

Je m’accroupie devant lui et me laissant paraitre un sourire, ma main étant toujours sur sa tête en train de lui caresse son cuir chevelu.

« Tu as eu plus de peur que de mal… Souris, remercie la dame et retourne t’amuser avec ta famille ^^ »

la main rapidement plaquée sur sa bouche, Himeko retint un étouffement. C'était elle, la dame? Bon, peu importe, elle n'avait sûrement pas à s'en faire. Mais... ça et le vous, ça commençait à faire beaucoup. Qu'est-ce qui la vieillissait à ce point? L'usagi se mit à réfléchir mais cessa rapidement lorsqu'elle se rendit compte de la stupidité de ses craintes. Souriant, elle observa la famille quitter les lieux, saluant les parents qui la remerciait. Cependant, elle dû rapidement se cacher derrière le comptoir et retenir tant bien que mal le rire qui désirait s'échapper d'elle. Ce qui lui avait donné cette envie subite, c'est de voir la jeune mère qui s'était presque prise la porte en sortant, si son cher et tendre ne lui aurait pas ouvert, elle serait marquée en ce moment même. D'ailleurs, peut-être ce serait-elle mise à vouloir pleurer tel leur petit garçon. Himeko se ressaisit rapidement et se redressa, le visage rouge, il lui restait encore quelques secousses du rire qu'elle tentait de retenir. Quelques petits haha au son enfantin s'échappèrent finalement et elle grogna doucement avant de s'excuser. Elle qui se montrait trop souvent amer avec les gens, ne pouvait se permettre un tel rire après tout. Se raclant finalement la gorge, elle observa son client et se demandait combien de temps il allait rester encore. Il n'allait tout de même pas se gaver de d'autres sucreries glacée! Si? Puis, en y repensant bien, elle se dit qu'il avait peut-être un oeil sur Émilie... Elle était mignonne après tout, plus qu'elle? Peut-être bien. Dans sa tête, pour ne pas paraître plus folle qu'elle ne l'était, la petite lapine se mit à sourire malicieusement. Heureusement que personne ne voyait s'étirer ses lèvres...

- Dis-moi, Yu'mikor, ça te dirait une autre sucrerie en cadeau? Après en avoir mangé autant... Je te laisse choisir n'importe quoi ayant l'équivalent de ce bonbon glacé si le goût qu'il a ne te plaît plus. Émilie! Tu le sers d'accord? J'ai des choses à arranger derrière moi...

Sans laisser le temps à qui que ce soit de répondre, elle partit à petits bonds et rapidement, on ne l'entendit plus. Himeko était maintenant déterminée à laisser aller les jeunes gens et se divertir un peu. Rien de bien méchant, contrairement à son habitude. Après tout, ils n'étaient tous deux qu'humains.

Je regardais sans que l’on remarque la patronne, elle avait de drôle d’expression qui apparaissait ou disparaissait… Pourquoi l’avais-je vexé ? Je n’en ai aucune idée, pourquoi faisait-elle ça ? J’aimerais bien le savoir… Elle m’offrait une sucrerie me laissant seule avec son employée, je n’aime pas ça, elle a l’aire d’avoir quelque chose en tête et je trouve sa suspect, après quelques minutes de réflexion je ne prends aucune friandise, j’en ai trop mangé, 4 c’est déjà trop… Je décide d’aller la trouvée, mais ou a-t-elle bien pus allez ? Les hybrides sont trop rapides, ça me donne l’aire d’être vraiment inférieure. En cherchant dans la boutique Emilie me demanda ce que je cherché, je lui demande donc ou été passé sa patronne, je ne le sais pas pourquoi mais on avait l’impression que sa la dérangée, après une hausse d’épaule je continuais à chercher Emiko.

Ou est-elle allez …

Himeko fit la moue, il n'était pas drôle, pas drôle du tout même. Elle soupira, le moins fort possible de peur d'attirer l'attention de ces deux gens et regarda autour d'elle. Oui, cette boîte là collée au mur... mais il fallait absolument la déplacer! Comme ça, elle donnera vraiment l'impression d'être allée faire quelque chose derrière, pour le travail. Mais de quoi avait-elle peur en fait, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait et personne ne l'espionnait elle, n'est-ce pas? N'est-ce pas? Et puis zut. L'usagi se dirigea donc vers la fameuse boîte et tenta de la soulever. Lourd, c'était trop lourd pour ses bras. C'est dans des moments comme celui-ci qu'elle aurait voulue avoir la même force que dans ses jambes. Que pouvait bien contenir cette chose au juste... Tant pis, fallait se débrouiller seul. Cette chose gênait vraiment après tout, maintenant qu'elle l'avait décidée, fallait la faire bouger. Elle réussit au bout de quelques secondes, mais de quoi, 3 millimètres? Absurde.

- Mais bouuuuuuuuge!

Oups, plaquant une main devant sa bouge, elle se rassura vite, personne ne l'avait entendue, elle en était certaine. Mais il fallait tout de même qu'elle se dépêche à aller porter la chose diabolique dans un autre coin. Finalement, la boîte ne toucha plus le sol, elle l'avait carrément dans ses bras.

- Enfin...

Himeko se retourna, fit un pas et c'est à ce moment là qu'elle tomba, laissant tomber la boîte qui s'écrasa sur ses cheveux. Le cri qu'elle avait poussée cette fois, était plus aigu qu'elle n'aurait crue ses cordes vocales possible de faire. Cette fois, on l'aurait entendue en dehors de la confiserie. Et bien maintenant, elle savait quoi faire si elle était en danger

L’Usagi partie, et j’en faisais plus attention, je me « goinfrer » à l’œil… Au bout d’un moment j’entendis un bruit aigu qui me cassa les tympans, en regardant, observant et recherchant partout je vis l’Usagi en mauvaise posture et ayant une grosse boite écrasant ses cheveux. Je prix la boite, elle était assez lourde, 80-90 kg je dirais ou peut être moins, difficile à porter en tous cas… En la déplaçant je regarder les alentours… Puis me mettant à coter d’elle je lui soulève doucement le buste, passe ma main dans ses
cheveux.

« C’est bon… Son juste abimer ^^ »

Puis regardant si elle n’a rien, je passe ma main sur son dos, sous ses vêtements pour palper et savoir si sa colonne ne fut pas fracture, et je fis de même pour sa taille, mais n’allant pas plus haut… Sa serait risquer pour ma vie… Après un moment je reste accroupi à coter d’elle et en lui souriant.

« C’est bon… T’a rien de grave, t’a pas à t’en faire pour ça ^^ »

Tiens, c'était plutôt amusant de voir le monde à l'envers. Par contre, se sentir aussi inférieur par rapport à Yu' un peu moins. Comment avait-elle réussit à se mettre dans une telle situation. Himeko remercia son sauveur et alla même jusqu'à lui sourire. Jusqu'à ce qu'elle le sente tâter sa peau. Elle se raidit, ne comprenait pas, ne fit rien, guettant toute fois ce qu'il faisait. Il ne lui fera rien de louche, oh que non! Il finit par retirer sa main, elle soupira, soulagée, le gronda.

- Ça va pas de faire des trucs comme ça?

Elle remit ses cheveux en place, une légère impression d'anxiéter, elle avait l'impression qu'elle tremblait. Il était fou cet humain, elle était stupide cette boîte. Du coin de l'oeil, elle observa son héro, il avait l'air bien confiant. Elle se demanda un instant qu'elle serait sa réaction si elle le claquait. Oh mais elle ne le ferait pas, non, elle se demandait juste. Ceci suffit à la faire sourire. Elle se leva, regarda la boîte... et puis zut, elle n'avait qu'à rester là!

- Je ne veux pas te brusquer mais... tu sais que tu n'as pas vraiment le droit d'être à l'arrière de la boutique?

Je ne veux pas te brusquer mais... tu sais que tu n'as pas vraiment le droit d'être à l'arrière de la boutique ?

« Ouaip ^^ mais bon j’ai entendu crier et je t’ai vus, a pars si tu voulais que je te laisse comme ça ^^ »

Après un soupir je me relève doucement, lui sourit et sort de l’arrière-boutique pour ne pas la « fâcher ». Faisant attention aux alentours je retourne dans l’avant de la boutique et m’asseyant sur une sorte de fauteuils, je regardais paisiblement dans le fraie l’extérieure… Je regardais une grande bouchure (Haie – Patois) fruité emplie d’abeille et ce décorant sous cette chaleur intense… Je n’avais ni faim ni chaud… Ni froid, j’étais bien… J’aimerais bien y rester encore et encore… être comme cette bouchure… Tranquille ce laissant faire et ne dérangeant personne… Mais je ne suis qu’un humain faible par rapport à ce monde ampli d’hybride tous plus puissant que les autres…
Après un Moment je retournais mon regard dans le magasin observant toutes les sucreries, les clients et autres… Ils avaient l’aire tous heureux et familiaux…. Sa doit être bien d’avoir des parents…

Himeko eu une pensée comme quoi elle se serait bien débrouillée seule mais n'y croyait pas tant. Elle aurait fait quoi? Tirer ses cheveux? La boîte aurait très certainement suivit. Elle préférait donc se taire et brosser ses cheveux de ses doigts. Elle ne dit plus rien à yu'mikor, elle l'avait déjà remercié, n'était-ce pas suffisant? Bien sûr que si! Elle alla à la rencontre des clients, libérant ainsi Émilie qui alla à son tour prendre une pause. Elle avait beau être entourée par des milliers d'enfants, elle trouva tout de même le temps de regarder de temps à autres vers Yu', le détaillant, se demandant quel genre de personne il était. La lapine finit par hausser les épaules et regretter aussi tôt son geste en faisant face à une cliente qui, de toute évidence, ne la comprenait pas. Elle en finit donc rapidement avec elle avant d'aller s'asseoir à une table, les oreilles toutes basses. C'était maintenant décidé, cette nuit, elle la passerait ici. Presque endormit, elle sursauta en sentant sa tête tomber. Immédiatement, son regard son posa sur Yu'.

- Bien installé?

Ce n'était pas un peu stupide comme question après tout ce temps? Par contre, c'était bien la seule et première chose qui lui était venue en tête. Himeko regarda autour d'elle et ne vit personne de client, elle alla donc rejoindre Yu' et déposa ses pieds sur le fauteuil de sorte à être en petit bonhomme.

- Moi, je dormirais bien un peu...

Comme ce n'était pas professionnel. Étrangement, elle semblait le chercher plus comme un compagnon de journée que comme un client. Bien sûr, une personne qu'elle oubliera dès son départ. Après tout, il avait beau sembler être gentil, qu'est-ce qu'elle en avait à faire des gens...?

- Bien installé?

« Heu… Bha ouais… »

Himeko me rejoigna sur le fauteuil après qu’il n’y eu plus aucun client et que son employé fut partie en pause. Elle semblait fatigué après avoir dit qu’elle voulait dormir un peu, se ne ce voyais pas sur son visage, elle doit le cacher, peut être travaille t’elle trop ?

« Sa va allez ? Si tu veux dormir dort c’est ton magasin » Dis-je avec le sourire.

Je la regarde et remarquèrent que à cette instant, que c’est la première fois que je vois cette race d’hybride, je suis comme même idiot de le remarquer que maintenant… Je ne sais pas si ils sont tous comme ça, mais en tous cas elle, elle est bisard… Elle a un caractère de cochon, elle est agressive à la parole et tous de suite après gentils, cela me fait rire intérieurement, mais malgré cela elle n’est pas méchante, elle est gentil. Pourquoi ne pas m’intéresse a elle ? Sa devrait être agréable et pouvoir passer le temps que de parler et d’essayer de la connaitre ne serais-ce qu’un peu.

« Sa fait longtemps que tu tiens cette boutique ? ».

À cette question, Himeko redressa ses oreilles. Ça faisait combien de temps déjà qu'elle travaillait ici. Que cette boutique était la sienne. Qu'elle passait des journées entière à se montrer toute gentille et ne désirer que se laisser tomber à la fin de la journée. Pour ensuite rendre les temps bien plus emmerdant aux vieux croûtons du bar. À fixer les danseuses, cherchant le regard qui les intimiderait le plus. À ne rien faire. Combien de nuits avait-elle passée sans sommeil? Combien... l'hybride haussa finalement les épaules.

- Pas tant, quelques mois, une année, peut-être deux. Le temps, je le hais...

Les yeux fermés, elle se sentir de nouveau sombrer vers le sommeil. Bien qu'elle n'avait pas vraiment le droit. Cet endroit avait beau lui appartenir, elle était tout de même en compagnie d'un client.

* Ne pas dormir... ne pas... *

Elle frotta ses yeux. Elle tentait le diable en les fermant. Elle se donna une petite tape sur la joue pour se réveiller mais se rendit vite compte que c'était plutôt le bras de Yu'.

- Ah, zut. Je suis désolée. Autant de fatigue... ça doit être la faim!

- Pas tant, quelques mois, une année, peut-être deux. Le temps, je le hais...

Après qu’elle eut di sa phrase nous restâmes quelques que temps sans parler, en restant muet et en se regardant mutuellement… M’enfin je la regardais, elle, elle se battait pour ne pas s’endormir. Au bout d’un moment elle se mit à me frapper le bras, je ne sais pas pourquoi puis en la regardant et l’écoutant je comprends rapidement, je ne suis pas idiot comme même.

« Tu sais quoi ? Si tu es vraiment fatigué dort… Ferme ta boutique et repose toi sur le fauteuil, il ne faut pas ce tuer à la tâche ! »

Je continuais de la regardais tranquillement sans enlever mon regard ou déposer mon regard sur autre chose ou une autre personne qu’elle. Ce n’était pas désagréable de rester comme ça avec elle, même en restant silencieux, le temps qui passait était agréable
.
« Si tu ne veux vraiment pas dormir, te reposer un peu, ce qui serait dommage vu que tu à une employer, pourquoi pas lui donner le relais pour le reste de la journée ? Enfin bref, si tu ne veux pas dormir prends des glaçon ou autres chose pour t’empêcher de dormir et parlons ensemble… »

- Pourquoi pas du café? Je suis certaine qu'il y a une machine dans la salle des employé. Pour cette fois, je pourrais te donner la permission d'y entrer si tu veux, mais rien que pour cette fois. Tu es d'accord?

Pour une fois depuis un moment, Himeko regarda en direction de son compagnon. Mais elle n'attendit pas sa réponse avant de se lever pour aller voir Émilie. Pas question de fermer la boutique, il n'était pas suffisamment tard encore. Elle lui demanda donc de servir la boutique seule et l'appeler s'il y avait un problème. Décidément, elle n'avait pas finit de surprendre les gens vu la tête qu'elle faisait.

- Aller viens, j'ai pas envie d'attendre...

Oui, la fatigue, ça rend grognon et elle agit en plus comme une enfant.Le tirant par le bras, elle se dirigea vers la salle des employés où elle se dirigea vers la machine à café.

- Normalement, je déteste le goût du café mais avec quelques cuillères de sucre, ça devrait allé.

Bâillant, Himeko marcha vers le canapé où elle avait l'habitude de dormir pour s'y asseoir.

- Tu voudrais quelque chose?

- Pourquoi pas du café? Je suis certaine qu'il y a une machine dans la salle des employé. Pour cette fois, je pourrais te donner la permission d'y entrer si tu veux, mais rien que pour cette fois. Tu es d'accord?

« Oui, si tu me le propose j’en prendrais bien un volontiers. »

Elle regarda en ma direction sans attendre une réponse de ma part, se leva aussi tôt ^puis partie vers son employé pour qu’elle puisse gérer la boutique toute seule. Je me leva mais à peine le temps d’aller vers elle qu’elle me tira le bras pour l’accompagner dans la salle des employé, une véritable gamine me dis-je à ce moment.

« Avec une bonne dose de lait c’est meilleur, le café est surtout fait pour nous faire rester éveillé. »

Himeko marcha vers un canapé modeste et assez jolie, je marchais derrière elle pour pouvoir ensuite m’assoir sur ce canapé qui était vraiment confortable.

«Pour l’instant je veux bien un café vu que tu m’en à proposer un. »

Je regardais la salle des employé pour regardais comment elle était. Cette salle est à l’image de la boutique en elle-même, donc on sait qu’on est toujours dans la boutique, même dans cette salle.

« T’a l’air vraiment fatigué, ne te retiens pas, ça ce vois que tu es vraiment fatigué… Endort toi… Sa peut être dangereux de rester trop longtemps éveillé… Même pour toi… Alors va sur le canapé et repose toi-même 5-10 minute, au moi juste le temps de récupéré un minimum… Ne te tue pas à la tâche… »

Un petit rire se fit entendre de la part d'Himeko alors qu'elle regardait les gouttes de café descendre dans la cafetière. Elle pouvait bien aller s'asseoir sur le canapé au moins le temps que le café soit prêt. Elle sortit deux tasse et alla s'asseoir, couchant sa tête sur le dossier.

- Tiens c'est drôle... Ça fait vraiment du bien...

Elle le regarda du coin de l’œil en prenant un petit air mauvais et ajouta.

- Ne t'avise pas de le dire à qui que ce soit... Je ne suis pas faible.

Elle soupira, sourit presque et releva la tête pour regarder le café. Décidément cette machine, qu'est-ce qu'elle était longue! Combien de minutes aurait-elle le temps de dormir avant qu'elle ne finisse? Penser à autre chose, penser à autre chose...

- Alors sinon, comment trouves-tu la pièce?

Elle se força un petit sourire amical qui lui donnait probablement plus l'air d'un zombie devant un être vivant prêt à être dévoré. Oui, oui, l'air d'une morte en gros. C'était impressionnant comment ça peux vous rattraper d'un coup. C'en était presque idiot.

Himeko s’asseya sur le canapé et posa sa tête sur le dossier. Me regardant du coin de l’aire avec une sorte d’aire mauvais, elle faisait comme une menace, enfin je crois pour que je ne dise pas qu’elle est faible et cri cela à tous les toits.

« Si, si je vais crier sur tous les toits que tu es une Usagi faible et dépourvu de puissance. » Dis-je d’un ton très ironique.

Personnellement ce n’est pas mon problème, et pourquoi je crierais une absurdité a tout le monde ? Qu’es que ça m’apporterais, peut-être est-elle paranoïaque ? On ne sait jamais…

« Bha elle est agréable, petite et mignonne, c’est la même qualité que la boutique, elle est à son image ^^ »

Elle força un sourire amical, je me mis à rire sans aucune méchanceté, mais ressembler à celui d’Oga Tatsumi dans Belzebub, un sourire qui ne peut être gentil, même avec tous les efforts du monde. Le café n’est toujours pas prêt et elle commence a s’endormir, elle est morte de fatigue, sa se voie, mais elle ce force à rester éveillé…

« Dort… Ne reste pas comme ça à te bousiller la santé… Dort… Si tu ne dors pas, moi je vais te forcer à le faire si ça continue. Tu vas vraiment être mal après, et ça te coutera plus chère de te soigner que de dormir… Alors NE TE FORCE PAS !!! »